18 décembre 2015

Ce que mangent les auteurs

Désolée, en ce moment, je n'ai pas trop le temps de bloguer : je carbure sur Jivana.
Hier, j'ai même fait une grosse journée d'écriture, où j'ai posé 3 chapitres complets (soit 36 000 signes, soit 6 000 mots). C'est énorme. Normalement, mon quota minimum, c'est 1 000 mots. Ces temps-ci, j'essayais de faire un chapitre entier par séance (environ 2 000 mots). Mais 6 000 c'est whaou !

Sinon, il faut que je prenne le temps de vous montrer la couverture du Bayou, enfin de "Seuls les alligators vous entendons crier" ! Et j'ai un bonus à préparer pour ce bouquin aussi...

Et le résumé de l'Empire des Auras à vous montrer. Et plein de conventions des Incos à renvoyer.
Rhâaaa, trop de choses à faire et pas le temps !

L'écriture de Jivana est tellement un besoin, et ça fait si longtemps que j'attends de pouvoir le faire, que rien ne peut plus m'en détourner. Je me suis fixée novembre et décembre pour y arriver. J'ai pris beaucoup de retard (au moins 10 jours sans écrire en novembre), mais j'espère être près de la ligne d'arrivée au 31/12 !

Ah, je vais quand même profiter de ce message pour annoncer que Le Premier est finaliste du prix Mythologica ! Yeah !

À part ça, j'en reviens au titre du post pour vous parler de quelque chose qui me fait à la fois sourire, et à la fois me semble important : la nourriture.
Car oui, chers amis, et chers lecteurs, je ne me nourris pas exclusivement de lombrics et de rosée. À un moment, il me faut autre chose. Quoi, me direz-vous ?

Eh bien... quelques fondamentaux :

Numéro 1 : le thé


Je ne bois pas du tout de café. Par contre, j'adore le thé (que je bois avec du sucre. Parfois beaucoup. Ou du miel. C'est mon côté abeille). 

N'importe quel thé ? J'ai une nette préférence pour les thés noirs, et les Roïboos (thé rouge sans théine). 

Et je n'aime pas le thé à la menthe (enfin, sauf le vrai, très bien fait, mais d'une manière générale, je n'aime pas la menthe. Je ne comprends pas vraiment l'engouement autour des Mojito, du coup. Mais il faut dire que je ne bois pas du tout d'alcool, donc...). Ni le thé au citron (surtout pas ces espèces de trucs infects des machines genre Nespresso, ou des aires d'autoroute. Brrrr).

Ah, et comme je le prends très sucré, je me sens assez déstabilisée quand on m'offre du sucre, mais pas de cuillère ou de touillette... vous voyez l'idée. Et comme les gens sont gentils, je n'ose pas redemander de peur de faire ma star. Donc, je le dis ici : eau chaude, thé, sucre, et cuillère.

Numéro 2 : le chocolat



Alors, là, c'est terrible, parce que je peux en manger des kilos. Surtout pendant que j'écris. 
Un coup de barre, un manque d'idée pour continuer la scène ? Hop, deux carreaux de chocolat et ça repart.
Là, pour ma journée d'écriture intensive, j'ai du passer une demi-tablette. Mais mon cerveau brûle les calories (chut, les fesses, on ne vous a rien demandé ! Je brûle, je vous dis !).

J'aime le gros chocolat au lait (parfois avec des noisettes, ou des trucs sympas dedans). Pas trop le noir ou le blanc (mais s'il n'y a que ça, je peux me forcer :) ).

En déplacement ou en salon, je peux tout à fait m'en passer. Mais à la maison pour écrire, c'est indispensable.

Numéro 3 : les macarons


L'une des raisons qui m'a poussé à vous parler de nourriture, c'est ma dédicace du week-end dernier à la librairie Lulu de Mornant (qui s'est super bien passée, au passage, merci ! Les enfants rencontrés en octobre sont bien revenus, et il y avait des curieux de passage qui ont été ravis de repartir avec des livres dédicacés). Bref. Les adorables libraires m'ont accueilli avec un thé délicieux, et une petite assiette de macarons. Le rêve.

Franchement, si je deviens une super star avec une loge et tout (aucune raison que ça arrive, mais c'est pour vous faire visualiser le truc), je demande à toujours avoir des macarons dans ma loge. J'adore ça.

Et (coming out) comme je ne mange plus de gluten depuis bientôt un an, j'avoue que ça, c'est typiquement le gâteau parfait pour moi ! (l'avantage de beaucoup cuisiner, c'est que je connais pas mal de recettes, donc je sais s'il y a de la farine ou pas... et dans les coques de macarons, il n'y en a pas !).
À moins de tomber sur un psychopathe qui met de la farine dans la garniture (même dans la crème pâtissière, c'est de la fécule), normalement, c'est zéro souci, que du plaisir.

Bref : j'adore.

Tous les parfums (sauf citron, menthe et café, comme vous avez pu le deviner en lisant le reste).


En résumé ? Je suis super chiante : je ne bois pas d'alcool (non, mon foie n'est pas d'accord), je ne bois pas de café, et je ne mange plus de gluten. Mais si vous voulez me faire plaisir, vous savez que du thé, du chocolat et des macarons feront de moi la plus heureuse des auteurs !!!


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